L'agenda des spectacles
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Avril 2023

01.04.2023

27.04.2023
au
dimanche
14.05.2023
Les spectacles en détail
PROGRAMME
- 19h00 Accueil et apéritif
- 19h30 Courtes allocutions des représentants officiels de la commune de Renens et de Zina Balmer
- 20h00 Duo musical Véronique Thélin et Béatrice Mayor
- 20h20 Service du repas (Picadillo a la Habanera (viande de boeuf) et Riz – une option végétarienne est prévue) Merci de réserver dans tous les cas en précisant le choix végétarien dans les remarques
- 21h00 Jo Boegli et Hubert Cudré – Lecture de textes d’Henri Roorda
- 21h20 Jean-Paul Favre – Chants, airs de Caldara, Wolf, Massenet – accompagné au piano par Nicolas Mick
- 21h40 – 22h00 Pause
- 22h00 Rodolphe Ittig – Les Méfaits du Tabac d’Anton Tchekhov
- 22h20 Véronique Thélin - chansons et piano...
Au cours de la soirée, piano-bar de Nicolas Grimm et une lecture de Jean-Luc Borgeat
Merci de réserver soit sur www.theatre-silo-lac.ch ou par téléphone au 021 888 33 11
Entrée libre... repas 12.- (sauf pour crowdfunder qui recevront une invitation personnalisée)
Nous vous attendons avec plaisir et fierté,
Zina Balmer & Lisa Torriente
Un merci tout particulier aux artistes qui se produiront devant nous tous à cette occasion.
Un merci immense également à Jean-François Clément, Emmanuel Dupasquier, Thomas Flückiger, François Landolt, Nicolas Grimm, Hajriz Ibriqi, Jean-Pierre Potvliege, Rodolphe Ittig, Florian Gruber, Latifa Balmer, Pascal Kaegi, Géraldine Dura, Priscille Biolley, Basile Illan et tous les corps de métiers qui ont œuvré ces derniers mois afin que cette fête et la « suite » soient possibles.
Des mercis en bouquets, en feux d’artifice, pour la commune de Renens, le Canton de Vaud, la Loterie Romande, la Fondation philanthropique Famille Sandoz, la Fondation Ernst Göhner, la Fondation Menhir, tous nos crowdfunders & M. Carmine Pastore

De Aristides Vargas
Mise en scène : Iria Díaz / Production Les Tisseuses de Paroles, Théâtre du Galpon, Théâtre Silo du Lac, Motamot
Jeu: Zina Balmer, Amanda Cepero
Musique: Denis Favrichon, Michel Kun
Scénographie : Michel Faure
Lumières : Hélène Giraud
Création film animation et vidéo: Isabelle Million
Assistanat à la mise en scène et Costumes : Lisa Torriente
L’Âge de la Prune raconte avec humour et passion la vie d’une famille composée uniquement de filles.
Zina Balmer et Amanda Cepero incarnent tour à tour les deux sœurs Celina et Eleonora, des grands-mères, des mères, des tantes, des petites filles qui prendront la parole comme pour chercher l’air lorsqu’on suffoque, essayer ainsi, dans une tentative peut-être vaine, souvent tragi-comique, de fuir la maison familiale.
Il est aussi question d’un espoir de changement au milieu d’une solitude féminine perceptible chez deux sœurs confrontées à la mort prochaine de leur mère.
Ce texte puissant poétique et drôle d’Aristides Vargas (Argentine), d’une simplicité trompeuse, décrit de façon subtile la complexité des relations interfamiliales, la place laissée aux femmes, la difficulté d’exister au sein du cercle familial, la recherche désespérée d’une autre vie…
Iria Díaz met en scène cette œuvre comme on donnerait vie à un journal intime, les personnages du passé prennent corps, la musique live (Denis Favrichon et Michel Kun) distille tant sa nostalgie que son ironique vivacité et rythme le temps qui passe.
Représentations
de Joseph Ponthus
Collectif nunc Théâtre
Mise en scène : Jo Boegli
Avec : Patricia Bosshard, Hubert Cudré, Patrick Dentan
Musique et sons : Patricia Bosshard
Costumes : Karine Dubois
Scénographie : Olivier Company
Attachée de presse : Corinne Uldry
« A la ligne » est un grand poème, une odyssée moderne, dans laquelle se raconte la sueur des hommes et des femmes qui travaillent à l’usine, dans laquelle s’entremêlent la colère, la philosophie, l’humour toujours, les chansons de Charles Trenet et d’autres, la critique sociale, l’espoir de lendemains qui chantent, la crainte de la perte du travail, aussi harassant, répétitif, violent, absurde soit-il.
Etrangement, il y a aussi l’amour du travail bien fait, la solidarité…
Dès sa parution, « A la ligne » rencontre un très grand succès et est récompensé par le grand prix RTL-Lire.
Joseph Pontus est décédé dans le 24 février 2021, à l’âge de 42 ans.
Représentations
Une nouvelle Conférence Extravagante de Pierre Cleitman
En 1971, était publié un Cours de Philosophie en Six heures un Quart, écrit par le grand écrivain polonais Witold Gombrowicz.
Après avoir lu et apprécié ce chef-d’œuvre de brièveté et de pertinence pédagogique, Pierre Cleitman a décidé de faire encore plus compact.
Tout va en effet beaucoup plus vite qu'il y a soixante ans et nos contemporains font preuve d'infiniment moins de patience.
Pour réussir à capter leur attention distraite et sollicitée en permanence, il faut désormais déployer des efforts inouïs de précision, de concentration, voire de miniaturisation.
Pour devenir philosophe, Pierre Cleitman nous demandera donc six fois moins de temps.
Pour réussir cette initiation dans les délais impartis, sera abondamment sollicité le spécialiste par excellence de la forme brève : le philosophe grec Héraclite, surnommé Héraclite l'Obscur pour la luminosité paradoxale et énigmatique de ses aphorismes.
Représentations
De Jean-Claude Grumberg
Cie PDF
Mise en scène : Zina Balmer, Lisa Torriente
Avec Hubert Cudré, Rodolphe Ittig
Zina Balmer, Lisa Torriente
Scénographie et création lumières : Emmanuel Dupasquier
Costumes : Lisa Torriente
Rêver peut-être... est un voyage dans une réalité décalée qui revisite l’univers implacable de la justice et celui du théâtre.
On y fait justement le procès d’Hamlet par un procédé à la fois hilarant et terrifiant dont l’humanité sort gagnante mais pas épargnée.
Jean-Claude Grumberg a signé là un texte drôle et délicieusement intelligent où Zina Balmer, Rodolphe Ittig et Lisa Torriente se disputent une foule de personnages plus ou moins attendus tandis qu’Hubert Cudré campe notre héros emmêlé dans une infernale affaire de... rêves, qu’il n’aura aucune peine à avouer pour son malheur et notre plaisir.
Représentations
Un spectacle de théâtre de mouvement
d'après "Ainsi parlait Zarathoustra" de Friedrich Nietzsche
par le collectif Zara
Mise en scène : Margot Prod'hom
Jeu : Milo Cavadini, Antoine Fritz, Cesare Griner, Michael Groneberg, Théo Krebs, Mathys Lonfat, Valentin Lüthi, Omar Poletti, Alex Tosi
Oeil extérieur et technique : Jeele Johannsen
« Ainsi parlait Zarathoustra ! » ... - Mais pourquoi doit-il toujours parler ?
La question peut paraître basique. Elle s’avère toutefois être une vraie question de recherche. Parce que si l’on adopte une autre perspective, l’aventure de descendre et de remonter la montagne, la relation à la foule, le drame de l’impossibilité du don, l’enfant qui joue comme stade ultime du rapport à soi et au savoir, participent d’un univers tangible qui fait du texte de Nietzsche une expérience éminemment sensible.
Si l’on emprunte ces voies moins explorées, si l’on tend l’oreille pour écouter les voix qui s’entrelacent dans le texte, si l’on ferme les yeux pour percevoir le rythme, si l’on voit apparaître les images et les métaphores, si l’on ressent avec Zarathoustra ses réjouissances et ses drames, les paroles prennent vie et le texte prend corps.
Ce spectacle découle de la mise à l’épreuve du texte par le théâtre de mouvement. Ici jouera Zarathoustra ! se saisit du célèbre Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche pour le proposer sur la scène d’une manière inattendue : il s'agit de transposer le conflit des pensées dans un conflit des corps, de se concentrer sur les mouvements et les actions du texte pour les traduire à travers d’autres formes d’expression, par exemple la musique, le rythme, la voix et le mouvement, pour faire ressentir et faire penser.
L’objectif est de proposer une expérience inédite du Zarathoustra et du Surhumain de Nietzsche contrastant avec la dimension textuelle et intellectuelle qui les caractérise d’ordinaire, mais surtout, ouvrant vers des modes d’expérimentations de ce contenu plus usuels, plus organiques, plus souterrains, plus communs, voire plus universels.
Et si le Surhumain était un mouvement ?
Représentations
Music-Hall de poche
avec Sarah Pagin, Christian Baur (chant), Atena Carte (piano), Denis Fedorov (accordéon), Pierre-André Gamba (mise en scène).
un music-hall dans sa poche…
…Trois petites notes de musique au coeur de désirs plus ou moins avoués. Et puis, des chansons nettes qui se foutent des hashtags. Le consentement mutuel est un préalable à une viscéralité festive, sans aucun a priori, qui rend ici les interdits possibles. Puis, quand l’onirisme s’allume aux feux de la rampe, c’est comme un Paris flamboyant qui se jette sur scène à corps et à cœurs perdus. Pastiches, truculentes ou réalistes, les chansons s’imposent alors comme autant de miroirs orphiques d’une époque qui reflète pourtant si bien la nôtre.
Sous leur aspect bon enfant, ces merveilleuses chansons semblent désuètes, mais grâce à leur poésie d'apparence naïve et pourtant subversive, le spectacle voudrait susurrer au public, un doux sourire à la commissure des lèvres, qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien..
Représentations
SAISON 2022 / 2023
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